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Parlons vrai. Que montre l'expérience de la Somatopathie ? 

- Les semelles orthopédiques sont utiles, voire absolument nécessaires, lorsqu’il est besoin d’agir sur une pathologie située au(x) pied(s), dans une pathologie locale. Quelques exemples : pied diabétique, pied creux neurologique, arthrose, fonte du capiton plantaire (personne âgée), ulcérations plantaires, conséquences momentanées de chirurgie du pied… Inégalité de longueur réelle des membres inférieurs (talonnette)...

- Utiles ou indispensables aussi pour ‘performer’ dans des sports de compétition où les appuis répétés et intenses deviennent, de par leur répétition, ‘anti-physiologiques’. Il est alors nécessaire d’optimiser les efforts du pied. On pense au squach, tennis, running, sprint, course de haies, marathon, triple-saut, etc, du même ordre… Ces semelles sont des orthèses très techniques composées de matériaux variés associés en ‘sandwich’, collés, thermoformés...

- Ou encore, après chirurgie, suite à entorse grave de cheville ou de genou. Mais... après être d'abord passé par la 'case' somatopathie (la semelle sera plus simple, voire inutile) !

 

Pour le reste, il est préférable de commencer par la Somatopathie. 

 

Ces affirmations ne sont pas idéologiques : elles sont très faciles à démontrer, autant par LA THÉORIE (Paragraphe 1) que par LES RÉSULTATS PRATIQUES (Paragraphe 2), ce qui est encore plus révélateur.

 

Paragraphe 3, tout en bas de page, la réponse à cette situation fréquente :  « Je porte des semelles, mon enfant porte des semelles. (Elles sont neuves, très mal remboursées), je les garde ou je les jette ?!! » 

§ 1 : LA DÉMONSTRATION PAR LA THÉORIE : 

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 Spécial - SEMELLES ORTHOPÉDIQUES 

Faut-il porter des SEMELLES ORTHOPÉDIQUES

quand/si on connaît déjà un (bon) SOMATOPATHE ?!

Parlons vrai. Que montre l'expérience de la Somatopathie ? 

- Les semelles orthopédiques sont utiles, voire absolument nécessaires, lorsqu’il est besoin d’agir sur une pathologie située au(x) pied(s), dans une pathologie locale. Quelques exemples : pied diabétique, pied creux neurologique, arthrose, fonte du capiton plantaire (personne âgée), ulcérations plantaires, conséquences momentanées de chirurgie du pied… Inégalité de longueur réelle des membres inférieurs (talonnette)...

- Utiles ou indispensables aussi pour ‘performer’ dans des sports de compétition où les appuis répétés et intenses deviennent, de par leur répétition, ‘anti-physiologiques’. Il est alors nécessaire d’optimiser les efforts du pied. On pense au squach, tennis, running, sprint, course de haies, marathon, triple-saut, etc, du même ordre… Ces semelles sont des orthèses très techniques composées de matériaux variés associés en ‘sandwich’, collés, thermoformés...

- Ou encore, après chirurgie, suite à entorse grave de cheville ou de genou. Mais... après être d'abord passé par la 'case' somatopathie (la semelle sera plus simple, voire inutile) !

 

Pour le reste, il est préférable de commencer par la Somatopathie. 

 

Ces affirmations ne sont pas idéologiques : elles sont très faciles à démontrer, autant par LA THÉORIE (Paragraphe 1) que par LES RÉSULTATS PRATIQUES (Paragraphe 2), ce qui est encore plus probant !

 

Tout en bas de page, (paragraphe 3), la réponse à cette situation fréquente :  « Je porte des semelles, mon enfant porte des semelles. (Elles sont neuves, très mal remboursées), je les garde ou je les jette ?!! » 

§ 1 : LA DÉMONSTRATION PAR LA THÉORIE : 

 

Le membre inférieur naît, se constitue...

... À PARTIR de la même zone que le sacrum… (photo)

Au 29ème jour de la vie embryonaire, le membre inférieur provient d’un « bourgeon ». Ce bourgeon, tel qu'on le nomme, est créé par multiplication cellulaire... depuis le sacrum ! Et génère l'os iliaque !

Le moignon s’allonge progressivement, puis se courbe 1 fois dans un sens (le futur genou) puis 1 fois dans l’autre (la future cheville). Ensuite, TOUT À LA FIN, le pied apparaît. Le processus SE TERMINE PAR LES ORTEILS. Contrairement à ce que pourrait reproduire une imprimante 3D, l’être humain ne se constitue pas depuis les pieds mais bien depuis son sacrum. Ce n’est pas la somatopathie qui le prétend, il en est ainsi depuis des millions d’années, pour tous les vertébrés. Visuellement, cela ressemble beaucoup à la sortie d’un escargot depuis l’intérieur de sa coquille.

Embryon44jours.jpg

 En résumé : 

 le pied  N'EST PAS LE DÉBUT  de l’individu 

 mais bien  LA TOUTE FIN  de l’individu ! ! 

MbreInf_apparition(embryon).jpg
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Décalage des Temporaux (après) somatopathie.fr
Décalage des Temporaux (avant) somatopathie.fr

Conséquence : placées par obligation SOUS les pieds, les semelles orthopédiques agissent depuis là où l’on est achevé, alors que la somatopathie agit depuis là où l’on est créé ! Sacrée nuance. Nuance de taille. Telle est l’explication de pourquoi la somatopathie est bien plus active que les semelles pour tout ce qui concerne l’action sur la posture* (entre autres bien sûr, voir les 59 vidéos).

* Laissons-nous aller à un peu de 'réaction épidermique' : il existe de savantes formations sur la posture et comment y remédier par le port de semelles ingénieuses (que le patient sera contraint de porter pendant des MOIS ou des ANNÉES...). Avec peut-être en plus, une série de 10 à 30 séances de kinésithérapie. Voire un peu d'ostéopathie. Pourquoi ?! En somatopathie, la posture se corrige très bien en quelques INSTANTS !

 La posture se corrige en douceur. 

 Sans manipulations. Très vite et très bien... 

 DEPUIS PLUS DE 35 ANS ! ! 

 Ne serait-il pas temps que cette information circule ?! 

Exemple de rapidité de l'action sur la posture. Pour la démonstration, le sujet est resté... DEBOUT :

30 (Trente) SECONDES séparent les 2 images...

 Ne serait-il pas temps que cette information circule enfin (bis) ?! 

(Le reste de la séance a eu lieu en position couchée, comme il se doit, cette personne étant venue pour un lumbago. Les séances debout sont très exceptionnelles; uniquement si impossibilité formelle de s'allonger : douleur excessive, opération des yeux interdisant de s'allonger, pour exemples.)

On peut le refaire à volonté, autre exemple ci-après :

15 secondes séparent la photo n°2 de la n°1 (gestes effectués debout, au travers des vêtements...)

3 minutes séparent la photo n°3 de la n°2 (gestes effectués sujet à plat ventre)

OreillesDécalées1_1.jpg
OreillesDécalées2_2.jpg
OreillesDécalées3_3.jpg

 La résolution des cas ci-dessous

aurait été impossible

sans le travail sur la posture

(méthode 'somato') 

  ASSOCIÉ À  

 la libération des tensions INTRA-osseuses...

 

 

Le paragraphe n°2 illustrera ces affirmations avec les quelques exemples choisis ci-après.

Note : Les « tensions INTRA-osseuses » est un sujet TRÈS important – fait souvent toute la différence – mais ne peut être développé ici.

§ 2 : LA DÉMONSTRATION PAR LA PRATIQUE : 

Les vidéos suivantes évoquent toutes la podologie, à un moment ou à un autre, en motif principal ou en motif secondaire. Comme en témoignent ces personnes, la résolution de ces cas ~impossibles~ s’est faite en somatopathie exclusive. (Les numéros des vidéos correspondent à leur emplacement dans le site).

Wave
23. FRACTURE INCONSOLIDABLE DE VERTÈBRE
Dame de 74 ans

- Corset plâtré et sanglé pendant 4 mois : pas d'effets curatifs sur la fracture de la vertèbre

- Morphine. Sans effets

- Option de la dernière chance :  injecter un 'ciment' dans la vertèbre...

- Somatopathie : les douleurs cessent sur le champ, dans la minute

- La consolidation pourra s'effectuer ensuite (naturellement) après les 2 séances.

Wave
25. SÉQUELLES POSTURALES douloureuses - loin dans le temps - Ado de 15 ans
après traitements multiples sur MÉTATARSUS VARUS + HALLUX VARUS congénitaux

- Marche depuis 1 an et ½ en varus (= sur le bord externe du pied) pour esquiver une douleur tenace et chronique dans le gros orteil

- Kinésithérapie, chaussures orthop, chirurgie...

... pour RIEN ! (mais remboursés !!)

- Retour au fonctionnel indolore dès la 1ère séance, DANS la séance. 

Wave
25B. DOULEUR APONÉVROSE PLANTAIRE
( près d'un gros orteil )

- Douleur chronique, aponévrose plantaire
- Infiltrations : pas d'effet durable
- 1ère chirurgie (d'un Hallux Valgus) : sans effet
- 2ème chirurgie (d'un névrome de Morton) : idem
- 3ème chirurgie (d'un pied grec...) : aggravation de la douleur et de l'impotence. (Merci !)

- Négation de la plainte « Vous n'avez pas mal ! C'est dans votre tête ! ». (Désolée de vous avoir dérangés !)

- Retour au fonctionnel indolore DANS la séance. 

Wave
25C. ŒDÈME + RAIDEUR CHEVILLE sur PROTHÈSE TOTALE
Prothèse posée 14 ans plus tôt. Dame de 64 ans

- Après la 1ère séance : « Ma cheville a dégonflé ! C'est la première fois ! La première fois en 14 ans !!! »

- Après la 2ème séance : « Je pose le pied à plat ! Je déroule le pas ! Je ressens à nouveau mes orteils... »

(Remarque : ayant fait le 'deuil' de sa cheville, cette personne n'est pas venue pour elle mais pour raideur cervicale et douleurs d'Arnold... qui vont mieux, les deux... Bref, la cheville, c'est cadeau !)

   Hélas, pas de vidéo !   

Cheville-Prothèse.jpg
Wave
25D. APONÉVROSITE PLANTAIRE
chez sportif athlétique (pompier secouriste)

- Échec de la tentative de guérison par ondes de chocs  (8 séances - très - éprouvantes)

- Somatopathie : retour immédiat au fonctionnel indolore.
(Méthode-MRP basique suivie du 'Travail Périostique* ' de Serge Maniey).

* Les fameuses tensions intra-osseuses...

Wave
25E. GONALGIE : douleur de genou depuis 2 ans
25 F. APONÉVROSE PLANTAIRE algique depuis 6 mois

- Douleur chronique de genou (depuis 2 ans)
- Douleur de jambe et de l'aponévrose plantaire (depuis 6 mois) :

Exemple de résultats possibles après 1 seule séance.

Wave
25G. ÉPINE CALCANÉENNE. Dame de 73 ans
( Prescription par le rhumatologue d'ondes de choc et de semelles orthopédiques, inutiles )

DEUX séances de somatopathie ont avantageusement remplacé les semelles orthopédiques* (podologue) ET les ondes de choc (kinésithérapeute), demandées par le rhumatologue (qui ne peut en effet conseiller... que ce qu'il connaît !!!)
* Pas d'hostilité de principe envers les semelles : en cas de surcharge pondérale, des semelles orthopédiques de décharge/soutien peuvent s'avérer nécessaires, mais en complément !

Wave
24C. MIGRAINES avec AURA DÉMESURÉ depuis 30 années
 ... venue pour APONÉVROSITE PLANTAIRE et ÉPINES CALCANÉENNES 
H_Canne_pensif.jpg

- Venue pour faire confectionner des semelles orthopédiques afin de soulager ses douleurs plantaires, cette dame repart sans douleurs, sans semelles orthopédiques (inutiles)  ET  disparition de migraines qualifiées d'hépatiques avec aura particulièrement invalidant (engourdissement de la langue, du visage, des membres, confusion, perte des repères spatiaux-temporaux, épuisement, douleurs intenses et de très longue durée...). Sans solution thérapeutique efficace depuis 30 (!!) ans  ET  accompagnée des habituels effets secondaires, gastriques plus particulièrement....

- Retour à la normalité et médications devenues inutiles après 2 séances.

Remarque : les cas à solutions ultra-rapides (fréquent) ne signifient pas que les autres situations du même ordre sont obligatoirement tout aussi...'faciles' !

Wave
26C. ENTORSE DE CHEVILLE AVEC ARRACHEMENT OSSEUX
Douleurs chroniques et limitations post chirurgie

Après 2 séances : recouvrement de la mobilité et disparition des douleurs

- retour à la vie active et professionnelle

- semelles orthopédiques de facto inutiles* (*se reporter à la page 26 des vidéos pour d'autres cas du même ordre)

Wave
19 H. OSGOOD-SCHLATTER
Douleurs de croissance, ici dans les DEUX genoux

La somatopathie n'a pas d'égale en ce qui concerne les douleurs de croissance,  TOUS LES TYPES DE DOULEURS DE CROISSANCE

- Ici, disparition des douleurs et récupération de la mobilité du genou, après 1 seule séance*.

- semelles orthopédiques de facto inutiles 

- kinésithérapie inutile

- médications inutiles

(* 2 séances sont toutefois fortement conseillées)

Wave
23B. ARTHRODÈSE DE PIED envisagée (ET ANNULÉE)
14 années après 100 FRACTURES sur JAMBE et PIED

- Amputation évitée après/grâce à 17 chirurgies, 3 greffes osseuses, 8 mois de rééducation en centre spécialisé (‘Les Massues’, Lyon).

- 3 ans de fauteuil roulant,

- 250 séances de kinésithérapie pendant les 2 années suivantes.

- 14 ans plus tard, pour soulager un appui toujours hyperalgique et insupportable, le blocage à angle droit de la cheville est envisagé (par une arthrodèse).

- Descendre un escalier normalement sur le champ.

- Déroulage indolore d’un pied redevenu fonctionnel en 2 séances.

- Abandon de l'intention d'arthrodèse.

Wave
SCOLIOSES...
(voir la page Spécial-Scolioses pour plus d'infos sur le sujet)
Roxane1a_réduit.jpg
Roxane1b_réduit.jpg

Sans manipulations vertébrales...

Sans kinésithérapie...

Sans semelles orthopédiques...

Sans corset...

(Du bout des doigts !)

Wave
  ETC, ETC, ETC, ETC . . . 
Above the Clouds

Si les THÉORIES de la Somatopathie

( Posturologie fine en méthode-Poyet

+ Considérations embryologiques

+ Tensions Intra-Osseuses )

sont régulièrement confortées par les RÉSULTATS,

c'est 'probablement' que ces théories sont pertinentes !

 § 3 : « Mais je porte déjà des semelles ! Toutes neuves ! ... » 

 « JE LES GARDE OU JE LES JETTE ?! » 

Gradient

Ça dépend ! ! !

S’agit-il d’une nécessité locale comme cela est expliqué tout en haut de page; exemple par excellence: mal perforant plantaire sur diabète ? Dans ce cas précis il faut décharger des hyper-appuis locaux tout en améliorant le confort et le retour veineux : « Gardez bien vos semelles ! ». Épine calcanéenne chez sujet trop lourd ? Idem...

Pour le reste, ça dépend. En effet, redisons-le,  la somatopathie agit depuis là où l’on est créé (le sacrum) et la semelle agit depuis là où l’on est fini…  Si la semelle vient ensuite en doublon, ce n'est qu'un mal mineur; elle est seulement totalement inutile. Mais, s’il y a antagonisme entre semelles et action rééquilibrante de la somatopathie, alors... aïe, c'est très différent ! C'est évident, les 2 approches veulent agir dans un même but, une même direction, mais à partir d'un raisonnement ET D'UNE ACTION totalement opposés ! ! 

Garder de telles semelles ou bien les jeter ? Comment décider. C’est assez simple en fait :

 

En effet, on décide facilement à partir de la réaction naturelle - et instantanée - du MRP (voir la page spéciale à ce sujet). En fin de séance, le MRP se doit d'être ‘nickel-chrome’. On place le sujet debout, pieds nus. On pose les mains sur ses hanches et l’on apprécie le MRP des hanches. Il doit être souple, ample, régulier, symétrique, harmonieux…

Ensuite, on demande à la personne de se placer debout SUR ses semelles. Si le MRP demeure fluide et normal, inchangé, cela signifie que les semelles s’intègrent bien dans le schéma corporel.

Si les semelles sont… toxiques, le MRP s’arrête immédiatement. IM-MÉ-DIA-TE-MENT !

 

Un peu comme des lunettes de vue mal conçues ; si elles déclenchent des migraines systématiques cela signifie qu’elles ne sont pas adaptées à la vue du sujet, tout simplement !

Semelles classiques ? Semelles proprioceptives ? Pas d'à priori, faut tester !

On peut rééditer l'expérience autant de fois que l'on veut ! 

 

Personnellement, quand une maman vient avec un enfant – très contente de montrer ses semelles toutes neuves – je lui apprends, après la séance de somatopathie, à percevoir le MRP des hanches de son gamin. (3 à 30 secondes suffisent !). Le mouvement de surprise passé (en effet, il n’est dit nulle part en médecine que l’on peut percevoir quelque chose à cet endroit-là, ou ailleurs… Et oui, ça glisse en flux et reflux, partout, doucement, en vagues, en rythme ! Il suffit de poser les mains aux bons endroits et se concentrer un peu !) on met l’enfant debout sur ses semelles. Si maman continue à ressentir le MRP, c’est bon, on peut garder les semelles ! Elles n’interfèrent pas défavorablement*. Si le MRP s’arrête – c’est alors immédiat, dans la seconde – maman le perçoit de suite, cela signifie que les semelles ne vont plus du tout (ou pire, n’ont jamais été bien indiquées !!!). C’est donc maman (ou papa) qui CONSTATE dans ses mains et qui décide ! Et non pas le somatopathe qui s’oppose(rait) par principe ou par idéologie aux semelles…

Tel bien sûr n’est pas le cas.

 

* Une expérience similaire - et très éloquente - peut être menée avec le téléphone portable. Posé sur la personne (tête, cou, nuque, cœur, bas-ventre), le MRP de tout l'organisme s’arrête immédiatement… Dans la seconde ! Et repart aussitôt dès qu’on éloigne le téléphone… Et s’arrête à nouveau si on repose le téléphone sur le sujet. Il y a donc bien une action, immédiate, - et pas si inoffensive que cela semble-t-il - par le biais de ces appareils du quotidien !  C'est-à-dire une double preuve : celle de l'existence du MRP et celle d'une toxicité certaine de l'appareil quand il est trop près...

Dès que l'occasion s'en présentera, j'aimerais tester l'action des petits dispositifs qui sont sensés faire barrage aux 'ondes' nocives des téléphones... Avec, puis sans, le MRP devrait réagir et montrer une différence...

Fin de l’aparté.

parler sur les téléphones
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