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"" Une étude (de Rachel Yehuda) menée sur
des survivants de l’Holocauste
a permis de prouver que
le traumatisme occasionné
se retrouvait dans les gènes de leurs enfants ""


(La Somatopathie connaît parfaitement les conséquences de ce phénomène – par le biais de ce qu'elle nomme les ''Lésions Intrinsèques'' et les ''Organes Figés'' – et l'utilise au quotidien depuis... 2004 : les effets des traumas vécus par les aïeux se perçoivent tactilement dans leur descendance. Cela génère multitude de troubles. Et on peut corriger cela, en partie ou en totalité, selon. En italique dans le texte, l'intervention du webmaster).


«« À compter d’aujourd’hui, l’épigénétique devient une réalité incontestable. Selon une étude menée par une équipe de recherche du prestigieux Mount Sinaï Hospital de New York, publiée dans la revue Biological Psychiatry et rapportée vendredi [21 août 2015] par le Guardian, les enfants de survivants de l’Holocauste portent en eux le traumatisme vécu par leurs parents. Littéralement.

Cette découverte intervient après que l’équipe de chercheurs ait étudié le patrimoine génétique de 32 hommes et femmes juifs ayant été internés dans un camp de concentration nazi, ayant vécu ou été témoin de torture ou ayant dû fuir et se cacher pour échapper aux persécutions de la Shoah. Ils ont ensuite étudié le génome de leurs enfants, avant de comparer les résultats avec ceux de familles juives extra-européennes.


Pour Rachel Yehuda, à la tête de l’équipe de recherche, « les changements dans les gènes des enfants ne peuvent être attribués qu’à l’expérience de l’Holocauste vécue par leurs parents ». Dans une précédente étude, Yehuda avait déjà réussi à prouver la plus forte sensibilité au stress de ces enfants de survivants, ceux-ci présentant des taux de cortisol (l’hormone permettant de réguler l’état de stress) inférieurs à la normale, sans pour autant parvenir à comprendre le mécanisme de transmission du traumatisme au niveau génétique. L’épigénétique ou la mémoire du trauma. [ Traumatisme non-vécu par l'intéressé(e). Mais bel et bien TRANSMIS !!!! ].

Cette étude, qui fera date dans le monde clos de la génétique, risque néanmoins d’attirer la controverse. [On pouvait s'en douter un peu : ébranler des certitudes (des dogmes) ne se fait jamais en douceur. Certains l'ont payé sur le bûcher quand la terra cessa subitement d'être plate...]. En effet, elle est la première du genre à démontrer irréfutablement l’existence de l’épigénétique, une théorie mise en doute par une partie de la communauté scientifique selon laquelle l’éducation et l’environnement individuels influencent les gènes des proches descendants, sans que l’on sache encore dans quelle proportion.

Une théorie qui va à l’encontre de la vision contemporaine de la génétique, qui considère que le patrimoine se transmet uniquement par les gènes de l’ADN. Les mécanismes épigénétiques se dérouleraient alors sur les marqueurs chimiques qui lient les gènes entre eux et font également office d’interrupteurs, activant ou non certains gènes. Ce sont justement ces marqueurs qu’ont en commun les seuls survivants de l’Holocauste et leurs enfants, au contraire des autres sujets de l’étude.

Depuis des années, des équipes de chercheurs essaient de répondre à la question de la mémoire du traumatisme [La Somatopathie - qui en connait maintenant 'un rayon' sur la question - n'est pas conviée dans ces recherches !], fréquemment associée à la résilience (la capacité de l’esprit ou du corps de revenir à son état initial, pré-traumatique), avec des résultats mitigés [le savoir-faire et l'expérience de la Somatopathie ne sont jamais requis non plus. Les ''experts de la question'' ne sont probablement pas prêt à... s'abaisser jusqu'à nous. Dommage...].

Pour Rachel Yehuda cette expérience est bel et bien « la 1ère démonstration de transmission d’effets de stress ayant eu lieu AVANT la conception et résultant en des changements épigénétiques à la fois chez les parents humains et leur progéniture ».

Comme l’indique le Guardian, une expérience menée en 2013 sur des souris [Cf onglet ''Les 4 outils''] avait déjà partiellement prouvé l’influence de l’environnement d’un individu sur sa progéniture : une première génération d’animaux était manipulée afin d’associer l’odeur du cerisier à de la douleur. La seconde génération de souris, issue de la première mais jamais exposée à la douleur, présentait pourtant les mêmes comportements craintifs une fois exposée au stimulus.
En d’autres termes, si l’épigénétique est entérinée et que vous comptez avoir des enfants, sachez que votre environnement influencera peut-être sur leur santé, AVANT MÊME LEUR NAISSANCE. °1 »»


[ENCORE 'MIEUX' si l'on peut dire : AVANT MÊME LA CONCEPTION DE LEURS PARENTS !!!! Les conséquences à effets morbides sautent une génération, mais sans doute ne l'ont-ils pas encore découvert... Il suffirait de demander gentillement. NDLR].

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Conséquence immédiate n°1 : certaines affections qualifiées de « sans cause », d' « auto-immunes », de « liées au pur hasard », ne sont peut-être pas si « sans-cause-que-ça » !
Conséquence immédiate n°2 : le qualificatif « trans-générationnel », c'est-à-dire littéralement « qui-traverse-les-générations » n'est plus un ''vilain gros mot'' utilisé exclusivement par des gens bizarres et farfelus ou dans des sectes bizarres et farfelues. Les biologistes spécialistes en épigénétique se sont désormais emparé de l'adjectif longtemps honni...
Conséquence immédiate n°3 : on n'est plus vraiment surpris des réguliers résultats de la somatopathie sur des situations pourtant qualifiées unanimement de « totalement inaccessibles par des techniques manuelles, évidemment ! ». Voir les témoignages-vidéos du diaporama : certains cas relèvent en effet DIRECTEMENT de la conséquence de transmissions épigénétiques. (Vous les reconnaîtrez intuitivement facilement). En Somatopathie on se doutait (et plus encore) donc de tout cela depuis 16 ans déjà et régulièrement, découverte après découverte, la compréhension du phénomène et la précision du geste en direction du MRP s'affinent...
ET le champ d'applications grandit de facto en même temps... SANS DIAGNOSTIC, SANS TRAITEMENT, SANS MANIPULATION, UNIQUEMENT & EXCLUSIVEMENT PAR LE BIAIS DES M.R.P. PERTURBÉS 'REMIS AU PAS'.

Remarque : les ''magnifiques trouvailles'' de M. Vernet qui ont 'boosté' la Somatopathie, ont été faites en 2004 sur (et grâce à) des descendants 3ème génération de traumatisés de la Shoah ! En écoutant le MRP des petits-enfants ! Curieux hasard que les découvertes récentes et quelque peu scotchantes évoquées ci-dessus aient été permises – 12 ans plus tard et un continent plus loin – par le biais du même 'support' humain.
Pour qui tient à vérifier sur le document originel en anglais et en apprendre un peu plus sur cette expérience directement auprès des découvreurs : ouverture automatique dans une autre page du site ''Scientific American'' :

http://www.scientificamerican.com/article/descendants-of-holocaust-survivors-have-altered-stress-hormones/

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