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24 Questions  –  24 Réponses

01. Que soignez-vous ?

02. C'est quoi ~ c'machin ~, le MRP ?

03. Le MRP ?! Pourquoi la médecine n'en parle-t-elle jamais ?!

04. 'Votre' MRP n'est au mieux qu'une hypothèse !

04B. Peut-on montrer le MRP à un citoyen 'lambda' ?

05. La somatopathie, une nième médecine parallèle ?

06. Pourquoi lit-on ça et là ''thérapie manuelle'' si ce n'est pas une thérapie ?!

07. Comment parvenez-vous à bien là où les échecs d'experts ont été nombreux ?!

 

(Un aller direct aux n°08 à 21 en cliquant ici)

08. Suivez-vous des protocoles particuliers au cours des séances ?

09. Pourquoi la Médecine ne 'voit'-elle pas ce que vous 'voyez' ?

10. Pourquoi aucune vidéo-témoignage sur le mal de dos, si fréquent ?

11. Êtes-vous tous de même compétence ?

12. Est-il possible d'aggraver ou de blesser quelque chose ?

13. Et si quelqu'un venait à dire : « charlatan ! » ?

14. Parvenez-vous toujours aux résultats espérés ?

15. Quelle est la meilleure technique disponible 'sur le marché' ?

16. Pour que ça marche, il faut quand même ''y croire'', non ?

17. Seriez-vous prêt à ce que votre méthode soit testée et évaluée ?

18. Comment une telle puissance d'actions, si peu connue ?

18b : Et la COVID ??!!!

19. La somatopathie, c'est cher ?!

20. La somatopathie moins confidentielle, un jour ?

21. La somatopathie un jour à l'hôpital ? ...

22. J'aimerais devenir somatopathe ! Comment faire ?

(Un aller direct aux n°08 à 21 en cliquant ici)

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Cette page répond aux questions que la somatopathie soulève fréquemment. La technique n'étant pas entrée dans les mœurs, encore moins culturelle; il est bon de lever tout mystère inutile que "l'inconnu" pourrait susciter...

01. Que soignez-vous ? 

Réponses aux questions que soulève cette discipline qui tient compte du postural, du traumatique physique, émotionnel, transgénérationnel (épigénétique)...

« Soigner ?! » La somatopathie... ne soigne RIEN !

Le somatopathe ne prend en charge aucune pathologie, au sens strict, et donc aucun malade. Les traitements des maladies sont réservés aux thérapeutes, à commencer par les médecins.

Comme dit ou écrit à plusieurs reprises dans divers paragraphes ou vidéos :

La normalisation du MRP est le SEUL et EXCLUSIF objectif de la somatopathie.

Le M.R.P, le Mouvement Respiratoire Primaire, un point c’est tout !

 ET PAR EFFET COLLATÉRAL ON CONSTATE QUE LA BONNE SANTÉ SUIT ! 

02. Le MR-Quoi ?! C'est quoi ce machin ? 

 Un 'truc' new-âge de babas cool des sixtees ?! 

Le MRP, le Mouvement Respiratoire Primaire, est le nom donné à la vague pulsative lente (environ 9 fois par mn), immuable, infime, et parfaitement perceptible en TOUS POINTS de l’organisme par n’importe quelle main légère, très légère, concentrée et un minimum attentive.

(Voir l’animation en images de synthèse sous l’onglet nommé  MRP ).

À l’heure des IRM et autres investigations modernes, il semblerait inintéressant (et totalement superflu) de poser avec douceur et concentration des doigts de fée sur nos contemporains… Quelle prétention ! Quelle erreur !

Fondamental : on ne parle pas de saisir : ce n’est pas l’anatomie qui nous intéresse en cet instant ! On parle uniquement ici d'un léger contact pour 'écouter' le MRP.

De fait, « on écoute » le MRP avec les mains et surtout, on écoute LES ANOMALIES DU MRP… Ensuite, toute la science (et l'art) de la somatopathie est de remédier au mieux à ces anomalies tactiles. Rien d'autre.

03. Mais la médecine n'en parle jamais ! Ça n'existe pas ! Ça se saurait !!! Tout au plus 'votre' MRP n'est qu'un artéfact. Et un artéfact ne sert jamais à quoi que ce soit ! 

Nul doute que le MRP est un phénomène physique  puisque perceptible tactilement par quiconque veut bien s'y intéresser  mais bien plus proche des phénomènes physiques ondulatoires que de la médecine, justement !

 

Mais acceptons un instant ce verdict ‘’savant et définitif’’ : le MRP ne serait qu’un « phénomène parasite induit par (la présence et/ou les gestes de) l’observateur » ; définition du dictionnaire d’un artéfact.

 

Il se trouve que cet « artéfact », ce « parasite », n’est ni erratique, ni irrationnel, ni inconstant, ni aléatoire, comme le serait un grain de poussière collé à l’oculaire d’un microscope. Bien au contraire, il obéit à des RÈGLES de comportement bien spécifiques. Règles très précises, identiques d’une personne à l’autre, d'une ethnie à l'autre,  constantes, très nombreuses et bien répertoriées depuis longtemps…

Cet « artéfact » existe sans doute depuis des centaines de millions d’années (probablement depuis qu’il y a des vertébrés, au minimum). Il aura cependant fallu attendre 1945 (env.) pour que ce subtil phénomène soit décrit par William Garner Sutherland, médecin ostéopathe américain. Le premier à s’être penché tactilement EN DOUCEUR sur une personne et y découvrir... ces ‘choses’. Mais depuis, de fait, le document intéresse très peu de monde et disparaît sous la poussière !

 

Et/mais le plus important pour nous : le MRP anormal accepte – sous certaines conditions, tout l’objet de la somatopathie justement – qu’on le ramène à la normalité…

 

Et ô surprise, lorsque du bout des doigts le MRP anormal est ramené à la normalité (et alors que l’on ne s’est nullement soucié des pathologies des intéressés) ces derniers clament haut et fort s’en porter nettement mieux. Rapidement, très rapidement. Sept, huit, neuf fois sur dix. On est largement et très au-delà de l’action du hasard ou d’un placebo. Plus le praticien maîtrise son sujet, meilleurs sont les résultats.

 

Troublant quand même pour un supposé « phénomène parasite sans aucun intérêt » !

 

En cet instant on a le choix de détourner le regard et nier l’évidence de ce phénomène…

 

L’expérience – sur des dizaines de milliers de personnes depuis 1/3 de siècle – a montré que « ce parasite sans intérêt » modifie son comportement à l’occasion de nombreuses circonstances (intoxications, irradiations, médications, alimentation, traumas divers physiques et émotionnels, etc...).

 

TROIS d'entre elles nous ‘intéressent’ tout particulièrement.

L’une, l’autre, ou les 3 ensemble :

- les chocs physiques, (suites de chirurgie inclues, telles que les coups de burin sur l'os lors de prothèses),

- les chocs émotionnels dévastateurs vécus par le sujet lui-même,

- les chocs émotionnels dévastateurs véhiculés dans les familles au travers des générations. Les vieilles ‘valises’, les vieilles ‘casseroles’ dont on hérite malgré soi…

 

Comme le chantait un comique français (Marc Jolivet) : « le fils d’Hitler n’a pas connu sa mère et n’a pas choisi son père ! ». Pour cet enfant imaginaire, ‘casseroles’ très lourdes à porter ! Illustration d’une constatation évidente et universelle : personne ne vient du néant mais naît de ses parents et grands parents. Peu de chance que ce petit monde n’ait jamais vécu que des bonheurs… On ne parle nullement là de génétique mais de souffrances.

 

Il est clairement dit ici que des chocs émotionnels puissants modifient le MRP au point d’en laisser des traces physiques. Physiques. Physiques. Phy-si-ques ! PUISQU'ON LES PERÇOIT ! Et donc tactilement accessibles aux doigts bien affûtés.

C’est de cette manière que le phénomène a été découvert par M. Vernet : « D’où provient cette infime modification de tension, en surface de ces os crâniens (années 96-98), cette variation de densité dans ces organes (année 2004), cette altération de la motilité du MRP, loin sous les doigts, à la limite du perceptible… ? ».

 

Doté d'une sensibilité hors du commun et d'une insatiable curiosité, il aura fallu en plus une ‘sacrée’ dose d’intuition pour envisager que ces micro-variations insignifiantes (JUSTEMENT SI, SIGNIFIANTES…) puisse signifier et donc nous « dire » quelque chose d'utile. Tout comme un gaz d’échappement anormalement épais et bleu dans le sillage d'une voiture « dirait » sans aucun doute quelque chose de très précis et d'utile à votre garagiste !

Et une bonne dose de 'génie' et d'observation fine pour découvrir ensuite comment re-normaliser le MRP!

Dans un exemple de même ordre : quand une carrosserie est altérée, il faut la confier à un carrossier pour repérer bosses et creux et assez compétent pour savoir les faire disparaître ! Juste repeindre (parler, commenter, revivre mentalement l'accident 1000 fois) n’est pas toujours suffisant… La peinture, même en couches épaisses, n’enlève pas les bosses et ne détord pas la matière !

 

Les dogmes sont des vérités universellement reconnues tellement elles paraissent ‘’aller de soi‘’, personne ne voit la nécessité de les démontrer. Et pour cause, puisque ces vérités ‘’vont de soi’’ ! La terre n’est-elle pas – d’évidence – toute plate ? Le soleil ne tourne-t-il pas – d’évidence – au-dessus de nos têtes de l'Est à l'Ouest ?

Les contradicteurs de ces 'évidences' se sont vus moqués au cours des siècles. Dans le pire des cas, ils ont fini au bûcher pour avoir ébranlé la doctrine... (et donc le pouvoir...). Pour des « évidences » que l'on sait totalement fausses aujourd'hui.

 

Voici l'exemple d’un dogme médical qui a (enfin) à vacillé récemment :

« Les chocs émotionnels vécus nos grands-parents, (avant la conception des parents, donc !) ne peuvent pas avoir d’influence sur nous. Encore moins une influence sur le physique, le fonctionnel et nos comportements ultérieurs. Quelle rigolade que même simplement l’envisager ! ». 

 

Cette affirmation ‘’savante‘’ et ‘’allant de soi‘’ est enfin contrecarrée par des découvertes très récentes sur des animaux de laboratoire, et encore plus récemment sur des humains (en août 2015) et abondent totalement dans NOTRE direction. Lire plus de détails à ce sujet dans la page   Des preuves   .

 

Effectivement, les « Transmissions Épigénétiques » qui se confirment vont désormais dans ce sens :

- les événements dramatiques vécus par nos grands-parents TRÈS LONGTEMPS AVANT* notre conception (puisque nos parents n’ont pas encore été conçus eux-mêmes !) influent néfastement sur ce qu’il va se passer pour nous après…

Nous ne sommes donc plus les seuls ‘frapadingues’ à le prétendre. Ouf ! Nous avons donc bien toute notre tête ! Les recherches de pointe en biologie constatent à leur tour et avec leurs moyens techniques ces mêmes choses étonnantes. Étonnantes et aux implications vertigineuses. Même remarque que paragraphe précédent : voir dans la page   Des preuves 

 

* 3 générations minimum. Il semblerait en effet que les ‘tsunamis affectifs’ non-réglés, non-digérés, perdurent en 'ondes de chocs' jusqu’à 5 générations. En termes simples et directs cela signifie que dans 3, 4 ou 5 générations, les attentats du Bataclan, de Nice et les autres, vont donner du travail aux somatopathes de l’an 2100 voire 2150…

 

Sauf que nous l’avions déjà observé effectivement depuis 16 ans déjà donc... Et que nous en sommes aux solutions…

... CAR ÇA SE TOUCHE DU DOIGT !

ET CE N’EST PAS INÉLUCTABLEMENT FIGÉ MAIS ACCESSIBLE (un peu ou beaucoup) À LA NORMALISATION PAR LES MAINS. GRÂCE AU MRP.

04. 'Votre' MRP n'est au mieux qu'une hypothèse ! 

Si on utilise un instant le langage des mathématiciens, nous pouvons sans doute considérer le MRP, non pas comme une hypothèse, mais plutôt comme une « CONJECTURE ».

Définition d'une conjecture :

« Une conjecture est un énoncé suggéré par l'intuition ou par L'OBSERVATION d'exemples mais qui N'EST PAS ENCORE DÉMONTRÉ ».

 

C'est l'observation par des milliers de personnes depuis 75 ans, en touchant avec légèreté ET attention, que le MRP est 'apparu' dans les mains.

Sous le lien ci-après en bleu, votre curiosité peut vous amener à consulter une liste de dizaines de conjectures mathématiques démontrées (et donc maintenant ce sont des théorèmes !), de certaines conjectures invalidées (car l'intuition était fausse) et près de 100 autres conjectures en attente de démonstration. Plus de CENT non-démontrées !! Et pourtant les mathématiciens tentent d'y parvenir de tous leurs neurones de compétition ! On ne lit malgré tout nulle part que les docteurs en hautes mathématiques, voire des prix Fields/Nobel, sont des petits plaisantins, au prétexte qu'ils recourent à ces conjectures, ces 'presques-théorèmes' non démontrés, POUR AVANCER DANS LEURS TRAVAUX...

https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_de_conjectures_math%C3%A9matiques

Un exemple, tiré de la physique des particules : le Boson de Higgs. Cette particule élémentaire est bien 'pratique' aux physiciens pour expliquer la masse de toutes les autres particules de l'univers... Sur le papier, depuis les années 60, ça 'marche' très bien de faire en considérant que ce 'fantôme' insaisissable existerait réellement pour de bon. Mais impossible de montrer son existence pour autant : une véritable conjecture ! Le Boson de Higgs a été traqué pendant 50 ans par des dizaines d'équipes de physiciens à travers toute la planète. Il a fallu attendre 2015, soit 50 ans plus tard et des milliards de $ et d'€uro plus tard, ainsi qu'une machine de 27 kms de circonférence (Cern/Suisse), pour que la preuve irréfutable de son existence soit établie !

On peut raisonnablement en déduire que le MRP – qui n'est 'traqué' par aucune équipe scientifique, avec aucun budget – mettra sans doute beaucoup plus de 50 ans pour être confirmé ! En pratique, on fait comme s'il existait car nous ne parvenons pas à renier nos propres mains et ce qu'elles perçoivent (les FAITS sont têtus). Et en attendant on 'fait avec et comme si' ! Et cette conjecture que représente le MRP fonctionne plutôt pas mal ! Voir les vidéos...

La médecine est confrontée, elle aussi parfois, à des conjectures, et doit s'en accommoder aussi longtemps que nécessaire ! 

Exemple, le Virus de l’Hépatite C : invisible, indécelable. Le VHC est là ‘quelque part’ dans le sang mais il échappe depuis 1/4 de siècle à toutes les investigations. Ce qui n’a pas empêché que les personnes atteintes par le VHC soient médicalement traitées ! L’ennemi est invisible mais il est possible malgré cet obstacle d'agir contre lui… Paradoxal n’est ce pas ?

19 Octobre 2016 : le virus de l’Hépatite C a enfin un ‘visage’ grâce aux travaux de l’INSERM (Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale). Voilà, c'est démontré. 25 ans que la communauté médicale attendait cela ! Il aura fallu également ici mettre en œuvre de très gros moyens financiers et techniques et humains – dans une compétition internationalepour que cette conjecture que représentait le VHC devienne un fait scientifique avéré, concret.

Pour qui douterait de la véracité de cette information, plus de détails directement sur le site de l’INSERM : http://presse.inserm.fr/le-virus-de-lhepatite-c-observe-pour-la-premiere-fois-au-microscope/25440/

POUR RÉSUMER : il est possible de travailler très longuement et EFFICACEMENT avec des conjectures  ou malgré des conjectures  sans qu'il soit nécessaire d'en faire tout un plat ! L'important est le bénéfice obtenu.

parler sur les téléphones

04B. Peut-on montrer le MRP à un citoyen 'lambda' ? 

OUI ! OUI ! OUI ! Et très facilement ! 

On le fait assez fréquemment en fait ! Lorsqu'il faut décider, par exemple, si des semelles orthopédiques que portent un enfant sont encore utiles après la séance ou... toxiques... On laisse les parents juger par eux-mêmes de la pertinence de l'orthèse.

En effet, on décide cela facilement à partir de la réaction du MRP. En fin de séance, le MRP se doit d'être ‘nickel-chrome’. On place l'enfant debout, pieds nus. On pose les mains sur ses hanches et l’on apprécie le MRP des hanches. Il doit être souple, ample, régulier, symétrique, harmonieux…

Ensuite, on demande à la personne (enfant ou adulte) de se placer debout SUR ses semelles. Si le MRP des hanches demeure fluide et normal, inchangé, cela signifie que les semelles s’intègrent bien dans le schéma corporel.

Si les semelles sont… toxiques, le MRP s’arrête immédiatement. IM-MÉ-DIA-TE-MENT !

On peut rééditer l'expérience autant de fois que l'on veut ! 

 

Personnellement, quand une maman vient avec un enfant – toute contente de montrer des semelles neuves faites sur ordonnance et podologue – je lui apprends, après la séance de somatopathie, à percevoir le MRP des hanches de son enfant. (3 secondes à 1 minute suffisent !). Le mouvement de surprise passé (en effet, il n’est dit nulle part en médecine que l’on peut percevoir quelque chose à cet endroit-là, ou ailleurs… Et oui, ça glisse en flux et reflux, partout, doucement, en vagues, en rythme ! Il suffit de se concentrer un peu !) on met l’enfant debout sur ses semelles. Si maman continue à ressentir le MRP, c’est bon, on peut garder les semelles ! Elles n’interfèrent pas défavorablement*. Si le MRP s’arrête – c’est alors immédiat, dans la seconde – maman le perçoit de suite, cela signifie que les semelles ne vont plus du tout (ou pire, n’ont jamais été bien indiquées !!!). C’est donc maman (ou papa) qui CONSTATE dans ses mains et qui décide ! Et non pas le somatopathe qui s’oppose(rait) par principe ou par idéologie aux semelles…

Tel bien sûr n’est pas le cas.

 

* Une expérience similaire - et très éloquente - peut être menée avec le téléphone portable. Posé sur la personne (tête, cou, nuque, cœur, bas-ventre), le MRP de tout l'organisme s’arrête immédiatement… Dans la seconde ! Et repart aussitôt dès qu’on éloigne le téléphone… Et s’arrête à nouveau si on repose le téléphone sur le sujet. Il y a donc bien une action, immédiate, - et pas si inoffensive que cela semble-t-il - par le biais de ces appareils du quotidien !  C'est-à-dire : une double preuve de l'existence du MRP et d'une certaine toxicité de l'appareil quand il est trop près...

Ce commentaire est également placé en doublon tout en bas de la page consacrée à la pertinence (ou non) des semelles orthopédiques : " Spécial / Spécial Semelles Orthopédiques ".

05. La somatopathie est-elle une médecine ? Une nième médecine parallèle ? 

Ni non-conventionnelle, ni parallèle… Ni perpendiculaire non plus ! Elle ne répond pas aux critères qui font les caractéristiques des médecines et disciplines associées.

Un médecin est un thérapeute formé à la collecte et à l’interprétation de symptômes afin d’établir un diagnostic. Diagnostic de quoi ? Diagnostic de maladie(s). Ensuite, s’il ne peut le faire par lui-même, il est formé à prescrire un traitement ou des traitements adaptés à ladite maladie(s).

 

La somatopathie ne part à la collecte d’aucun symptôme, n’établit par la force des choses aucun diagnostic médical et en conséquence ne peut traiter aucune maladie. Et elle prescrit encore moins quoi que ce soit.

Quitte à le redire : elle encourage vivement à consulter en première intention afin d’écarter tout contexte à caractère d’urgence ou de gravité. La somatopathie ne s’intéresse ensuite QU’au MRP et aux 4* techniques (découvertes à ce jour) pour remédier aux anomalies de ce MRP, c’est tout. Les bienfaits obtenus ne sont que des bienfaits secondaires collatéraux bienvenus.

 

* Se reporter à la page   Les 4 'outils'   (sous-entendu : Les 4 'outils' de la somatopathie).

Comme il l'a été écrit plus haut : le MRP est un phénomène 'mécanique' bien plus proche de la physique ondulatoire que de la médecine. Il devrait passionner quelques physiciens, malheureusement il ne fait pas l'objet de recherches prioritaires, voir § précédent...

06. Pourquoi lit-on parfois "Thérapie Manuelle" sur la carte de visite de certains somatopathes si la somatopathie n'est pas une thérapie ?! 

Assurément par manque de terminologies adéquates dans le dictionnaire, spécifiquement adapté à l’art de la somatopathie. En effet, lorsque l’on extirpe la maladie d’un malade on est thérapeute et lorsque l’on vend des cacahuètes, du savon ou des avions on est commerçant.

 

Or, proposer de l’expertise sur le Mouvement Respiratoire Primaire – que ne connaissent ni la médecine ni le commerce – ne correspond définitivement ni à l’un ni à l’autre.

 

Quand tel ou telle se voit – enfin – débarrassé(e) de troubles qui lui perturbent profondément la vie depuis 20 ans alors que plusieurs experts dûment diplômés s’y sont cassé les dents à tour de rôle, la personne en question a parfois le réflexe de dire « merci docteur ! ». Sans qu’on l’ait jamais incitée à le faire. Il est de l’honnêteté du somatopathe de rappeler qu’il n’est pas ‘’docteur’’ et qu’il ne doit pas être appelé ainsi. Si la personne persiste dans son choix de vocabulaire c'est qu'il lui est plus facile, plus pratique, plus simple, d’user d’un titre inadapté quand bien même la somatopathie ne le revendique pourtant jamais. C’est clair à chaque instant, le somatopathe n’est pas docteur en médecine (hormis quelques uns).

 

D’un autre côté, il est évident que le somatopathe n’a rien vendu qui s'apparenterait de près ou de loin à un acte commercial au sens que l'on comprend, mais il a '' vendu du ‘bon MRP’ '' ...

Pouvez-vous nous suggérer un mot parfaitement approprié à proposer pour cette action-là ?

Pour sa part, l’auteur de ces lignes n’use jamais du terme (pourtant court, pratique et simple) de ‘’thérapeute’’ (thérapeute manuel) afin de ne pas créer une ambiguïté qui n’a jamais été recherchée par personne.

Mais, en effet, pour certains somatopathes, cela leur semble plus pratique de ne pas procéder ainsi.

 

Avez-vous également un autre terme, approprié, ‘génial’ et non-ambigu, à proposer ? Oui ?! Super ! alors soumettez votre idée dans la page  Contact 

 

Dans le même ordre d’idée, comment également nommer les petits gestes légers de la méthode MRP-Poyet qui consistent à effectuer de petits effleurements sur le sacrum en des endroits bien précis ? Entre somatopathes, nous disons ‘’tchiquer’’, (= faire des ‘’petits tchics’’) même si ce n’est pas dans le dictionnaire.

Certains venant à la seconde séance déclarent : « Vos manipulations de l'autre jour m'ont fait beaucoup de bien ! ».  Quelles « manipulations » ?! Où avez-vous vu des manipulations ?!  Il n’y en a jamais eu ! On les proscrit même, les manipulations ! L'être humain est ainsi fait : quand il ne comprend pas il se raccroche à ce qu'il connaît !

 

Puisque le mot ‘’manipulation’’ est très inapproprié, dirons-nous alors ‘chiquenauder’ (= faire des chiquenaudes) ? On tombe un peu dans le ridicule. Ce n’est pas ‘caresser’. Ce n’est pas ‘masser’ non plus. Magnétiser, pas davantage. Le terme le plus simple et le plus universellement compris par tout le monde est ‘manipuler’… bien qu’il n’y ait pas de manipulation ! On tourne en rond. L’important est que ce soit clair.

 

Avez-vous également un terme approprié à proposer pour cette action-là ? Meilleur que ‘’tchiquer’’ ? À vos réflexions…

 

Les métiers vieux de plusieurs millénaires (navigation à voile, tailleur de pierres), de plusieurs siècles (la mécanique), planétairement partagés (électronique, informatique, web) disposent d’un jargon éprouvé par l'usage, d'un vocabulaire très spécifique. Mais la méthode que nous avons en main est relativement récente. Il n’y a pas de vocabulaire personnalisé et adapté pour la somatopathie. Pas d’autre choix que d’utiliser des mots connus, mais dans d’autres contextes, tout en étant bien conscients d’éventuels sous-entendus qui n’y sont pas.

 

Et Google ne facilite pas la tâche non plus ! Pour se faire référencer dans la bonne case, quand il demande « choisissez votre spécialité non médicale ». Il ne propose que DEUX ou TROIS rubriques : « kinésithérapie » ou « ostéopathie » ou « chiropraxie »  ! C’est pingre. Il n'y a pas de case « somatopathie » (à cette heure) où nous aurions pu nous y sentir vraiment à l'aise.

 

Dans quelle rubrique faut-il s’inscrire quand on travaille aux antipodes de l’une ET de l'autre ET de la troisième ?

Bref, voici la raison des termes inadaptés tels que ‘’ thérapie ‘’ et ‘’ manipuler ‘’ : il n’y a pas, en français*, de mot totalement pertinent pour décrire nos gestes. (* La somatopathie est née en France).

Rappel d'histoire : à leurs tout débuts, en France, dans les années 1950, les premiers ostéopathes étaient envoyés en prison pour charlatanisme parce que certains y voyaient du charlatanisme ! Ou bien en prison également pour exercice illégal de la médecine car d'autres y voyaient de la médecine ! Points de vue très contradictoires s'il en est pour juger de gestes strictement identiques !!! Alors, charlatanisme ou médecine ? Faudrait savoir ! Il a fallu de longues luttes pour qu'ils soient enfin placés ni dans l'une ni dans l'autre mais dans une toute autre : de l'ostéopathie. Sans que les principes techniques aient vraiment changés depuis, les ostéopathes sont reconnus. Au cours des décennies ce sont uniquement les points de vue des uns des autres qui ont été transformés, les gestes, pas fondamentalement...

Moralité : la peur, l'ignorance, et la peur de perdre un ''pouvoir'' sont définitivement trois plaies majeures du progrès.

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07. Comment – sans être capable(s) de poser un diagnostic médical  obtenez-vous ces résultats (étonnamment rapides et qui tiennent dans la durée) là où des spécialistes hautement qualifiés s’y sont parfois mis à plusieurs et malgré tout ‘cassé les dents’ ? 

Oui, déjà vu des personnes examinées et traitées en vain par 3, 4, 5 spécialistes… depuis des années voire des dizaines d’années… (40 à 50 ans... voir les vidéos).

 

Chercherions-nous alors à établir un ‘’super-diagnostic’’ auquel personne n’aurait jamais pensé – en contradiction totale avec ce qui a été affirmé au paragraphe précédent – qui déboucherait ensuite sur une maladie inconnue de tous... et un ‘’super-traitement’’ hypothétique que personne n’aurait pu envisager ? Impossible sans détenir les pouvoirs d’un super-Dr-House* !!! 

* Dr House faisant le pitre ça et là dans le site n’est qu’un clin d’œil humoristique… Ses célèbres mimiques sont ici comparables à des smileys ou à des points de ponctuation. Honni soit qui voudrait y voir autre chose.

Or, effectivement, l’exercice médical normal et prioritaire a déjà été effectué en amont. Et on n’entend jamais plus parler des personnes qui s’en trouvent fort satisfaites !

 

Comment procède-t-on pour les autres ? Celles pour qui « rien n'a marché » ? Ou trop peu marché ?

Simple dans son principe : on laisse une bonne fois pour toutes l’aspect « symptômes et maladies » de côté, impossible à prendre en compte – et pas notre intention – et on écoute les anomalies du MRP…

… et dans la foulée on restitue à leur normalité ces « artéfacts » considérés comme « inutiles ou sans intérêt » par certains et qui à nous nous apparaissent très importants.

Soit tout autrement, radicalement tout autrement !

 

Vous avez déjà noté qu'il n'y a rien d'exceptionnel à ce qu’une destination quelconque sur le globe ait 10 ou 100 chemins différents pour y accéder. Peut-être 1000. Soit l'adage : « Tous les chemins mènent à Rome ! ».

Cependant, il est tout à fait normal que depuis la voie que vous avez CHOISI d'emprunter vous ne puissiez apercevoir les autres voies d’accès ! Souffrez à l’idée qu‘il puisse y avoir des chemins multiples et variés alors que votre GPS dernier cri ne vous en a effectivement spontanément proposé qu'un seul... IL FAUDRAIT LE PROGRAMMER DIFFÉREMMENT si vous souhaitez un autre itinéraire pour cette même destination !

Comme le clame poétiquement une stèle gravée au sommet du Fujiyama : « multiples sont les chemins qui vous ont menés jusqu’ici, mais c’est la même lune qui charme vos regards ».

 

Après avoir envisagé plus haut l’hypothèse que le MRP ne serait qu’un artefact, si on se risquait maintenant à suggérer cette nouvelle hypothèse toute simple ? : « Et si le MRP n’était pas si inutile que ça ?! ». 

 

Mais bon, une conjecture n’est toujours qu’une conjecture, hi, hi !! Nul n’est tenu d’en croire un mot et notre karma n’est pas de convaincre l’humanité…

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